Après avoir épluché sites internet et guides de voyage avant mon départ, la conclusion est unanime: il va faire chaud, mais c'est la saison des pluies.
Qu'à cela ne tienne, je ne prends donc que des habits légers, au cas où un coupe vent et un poncho de pluie! Mais je m'attendais quand même à un beau soleil d'Amérique Centrale. Arrivée à Tegucigalpa (la capitale du Honduras) de nuit, il est vrai qu'il fait chaud, et humide. Le lendemain c'est le départ pour le terrain, le soleil brille :)
Cependant le chef de projet nous prévient, gentiment: "il risque de pleuvoir un peu là où on va..." Effectivement, quelques heures de route plus tard, on rentre dans un brouillard à couper au couteau, je me serais crue dans les pires conditions de ski (excusez mes références de grenobloise...) on voyait strictement rien, et les routes étaient totalement défoncées (des journées de pluies diluviennes sur des routes en terre, je vous laisse imaginer...)! Au bout d'un moment on s'arrête, on était arrivé! Et ben pour le soleil, je repasserais... Je vous laisse juger, là on était en route pour le terrain:
Dire que notre projet a été fait pour s'adapter à la sécheresse (qui a causé de graves dégâts l'an dernier) et bien cette année leur désastre ce sont les pluies diluviennes! Là en l'occurrence ils n'avaient pas vu le soleil depuis 10 jours... Autant vous dire que ça leur parle quand on les sensibilise aux changements climatiques...
Qu'à cela ne tienne, je ne prends donc que des habits légers, au cas où un coupe vent et un poncho de pluie! Mais je m'attendais quand même à un beau soleil d'Amérique Centrale. Arrivée à Tegucigalpa (la capitale du Honduras) de nuit, il est vrai qu'il fait chaud, et humide. Le lendemain c'est le départ pour le terrain, le soleil brille :)
Cependant le chef de projet nous prévient, gentiment: "il risque de pleuvoir un peu là où on va..." Effectivement, quelques heures de route plus tard, on rentre dans un brouillard à couper au couteau, je me serais crue dans les pires conditions de ski (excusez mes références de grenobloise...) on voyait strictement rien, et les routes étaient totalement défoncées (des journées de pluies diluviennes sur des routes en terre, je vous laisse imaginer...)! Au bout d'un moment on s'arrête, on était arrivé! Et ben pour le soleil, je repasserais... Je vous laisse juger, là on était en route pour le terrain:
1 commentaire:
Impressionnant en effet, il suffit de voir la photo !
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